Chimène Album
Artist(s): Chimène Badi
Cover Art

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Tracklist
L'amour dure trois temps
length: 2:54
Là-haut
Qui peut nous dire qui nous sommes?
Rien ni personne, rien ni personne
Qui pourrait changer la donne?
Rien ni personne, rien ni personne
Non, rien n'arrive par hasard
Comme nos vies qui s'égarent
Rien ne changera l'histoire
Ça vient de là-haut
Comme le vent sur ma peau
Le destin nous entraîne
Comme une ritournelle
Ça vient de là-haut
Comme le vent sur ma peau
Le destin nous entraîne
Comme une ritournelle
Est-ce que l'avenir nous retient?
Entre ses bras, entre ses bras
Pourquoi remettre à demain?
Si on se bat, si on se bat
Non, rien n'arrive par hasard
Comme nos vies qui s'égarent
Rien ne changera l'histoire
Ça vient de là-haut
Comme le vent sur ma peau
Le destin nous entraîne
Comme une ritournelle
Ça vient de là-haut
Comme le vent sur ma peau
Le destin nous entraîne
Comme une ritournelle
Ça vient de là-haut
Ça vient de là-haut
Ça vient de là
Ça vient de là-haut
Comme le vent sur ma peau
Le destin nous entraîne
Comme une ritournelle
Ça vient de là-haut
Comme le vent sur ma peau
Le destin nous entraîne
Comme une ritournelle
Ça vient de là-haut
Ça vient de là-haut
Comme le vent sur ma peau
Le destin nous entraîne
Comme une ritournelle
Ça vient de là-haut
Rien ni personne, rien ni personne
Qui pourrait changer la donne?
Rien ni personne, rien ni personne
Non, rien n'arrive par hasard
Comme nos vies qui s'égarent
Rien ne changera l'histoire
Ça vient de là-haut
Comme le vent sur ma peau
Le destin nous entraîne
Comme une ritournelle
Ça vient de là-haut
Comme le vent sur ma peau
Le destin nous entraîne
Comme une ritournelle
Est-ce que l'avenir nous retient?
Entre ses bras, entre ses bras
Pourquoi remettre à demain?
Si on se bat, si on se bat
Non, rien n'arrive par hasard
Comme nos vies qui s'égarent
Rien ne changera l'histoire
Ça vient de là-haut
Comme le vent sur ma peau
Le destin nous entraîne
Comme une ritournelle
Ça vient de là-haut
Comme le vent sur ma peau
Le destin nous entraîne
Comme une ritournelle
Ça vient de là-haut
Ça vient de là-haut
Ça vient de là
Ça vient de là-haut
Comme le vent sur ma peau
Le destin nous entraîne
Comme une ritournelle
Ça vient de là-haut
Comme le vent sur ma peau
Le destin nous entraîne
Comme une ritournelle
Ça vient de là-haut
Ça vient de là-haut
Comme le vent sur ma peau
Le destin nous entraîne
Comme une ritournelle
Ça vient de là-haut
Ce qui m'anime
Parfois me reviennent comme une rancune des visages de passé
Comme elle me retiennent ces douleurs anciennes
Moi qui cherche à m'évader
Parfois je les entends toutes ces voix d'avants
Dans mon sommeil elles m'appellent
Là à bout pourtant aujourd'hui je comprends
Que si j'avance c'est grâce à elle
À toutes ces lignes dans mes mains
Comme des signes que tout va bien
Et qu'on se relève à chaque fois
Les alliés ça va, ça vient
Mais ce qu'il reste à la fin
C'est cette lumière là au fond de moi
Forte et fragile, je suis tout à la fois
Je sais d'où je viens et je sais pourquoi
Il m'anime ce diamant en moi
Fière et plus solide qu'un soldat
Ce qui m'anime, ce qui m'anime me sauvera
Forte et fragile, forte et fragile, tout à la fois
On m'abîme mais ne me brise pas
Il y a ces impasses ces vies que l'on chasse
Pour n'en choisir qu'une d'entre elle
Les certitudes s'effacent, certains liens se casse
Mais nous ramènent à l'essentiel
À toutes ces lignes dans mes mains
Comme des signes que tout va bien
Et qu'on se relève à chaque fois
Les alliés ça va, ça vient
Mais ce qu'il reste à la fin
C'est cette lumière là au fond de moi
Forte et fragile je suis tout à la fois
Je sais d'où je viens et je sais pourquoi
Il m'anime ce diamant en moi
Fière et plus solide qu'un soldat
Ce qui m'anime, ce qui m'anime me sauvera
Forte et fragile, forte et fragile, tout à la fois
On m'abîme mais ne me brise pas
Il y a ce qu'on sait
Il y a ce qu'on croit
Et ce qu'on nous dit pas
Il y a ce qu'on sait
Il y a ce qu'on croit
Et ce qu'on nous dit pas
Forte et fragile je suis tout à la fois
Je sais d'où je viens et je sais pourquoi
Il m'anime ce diamant en moi
Fière et plus solide qu'un soldat
Ce qui m'anime, ce qui m'anime me sauvera
Forte et fragile, forte et fragile, tout à la fois
On m'abîme mais ne me brise pas
On m'abîme mais ne me brise pas
On m'abîme mais ne me brise pas
Comme elle me retiennent ces douleurs anciennes
Moi qui cherche à m'évader
Parfois je les entends toutes ces voix d'avants
Dans mon sommeil elles m'appellent
Là à bout pourtant aujourd'hui je comprends
Que si j'avance c'est grâce à elle
À toutes ces lignes dans mes mains
Comme des signes que tout va bien
Et qu'on se relève à chaque fois
Les alliés ça va, ça vient
Mais ce qu'il reste à la fin
C'est cette lumière là au fond de moi
Forte et fragile, je suis tout à la fois
Je sais d'où je viens et je sais pourquoi
Il m'anime ce diamant en moi
Fière et plus solide qu'un soldat
Ce qui m'anime, ce qui m'anime me sauvera
Forte et fragile, forte et fragile, tout à la fois
On m'abîme mais ne me brise pas
Il y a ces impasses ces vies que l'on chasse
Pour n'en choisir qu'une d'entre elle
Les certitudes s'effacent, certains liens se casse
Mais nous ramènent à l'essentiel
À toutes ces lignes dans mes mains
Comme des signes que tout va bien
Et qu'on se relève à chaque fois
Les alliés ça va, ça vient
Mais ce qu'il reste à la fin
C'est cette lumière là au fond de moi
Forte et fragile je suis tout à la fois
Je sais d'où je viens et je sais pourquoi
Il m'anime ce diamant en moi
Fière et plus solide qu'un soldat
Ce qui m'anime, ce qui m'anime me sauvera
Forte et fragile, forte et fragile, tout à la fois
On m'abîme mais ne me brise pas
Il y a ce qu'on sait
Il y a ce qu'on croit
Et ce qu'on nous dit pas
Il y a ce qu'on sait
Il y a ce qu'on croit
Et ce qu'on nous dit pas
Forte et fragile je suis tout à la fois
Je sais d'où je viens et je sais pourquoi
Il m'anime ce diamant en moi
Fière et plus solide qu'un soldat
Ce qui m'anime, ce qui m'anime me sauvera
Forte et fragile, forte et fragile, tout à la fois
On m'abîme mais ne me brise pas
On m'abîme mais ne me brise pas
On m'abîme mais ne me brise pas
Je pars
length: 3:43
Juste une femme
Le monde se réveille et je ne l'attends pas
Un nouveau jour se lève et pas de vide en moi
Il ne me manque rien ce n'est pas un enfer
Je suis juste une femme je ne suis pas une mère
Les années passent et les saisons défilent
Leur question me lasse laissez-moi tranquille
Pourquoi c'est si grave si je ne veux pas en faire
Je suis juste une femme, je ne suis pas une mère
Et quand je vois le monde, je ne trouverai jamais le sommeil
Si je devais surveiller mon ombre
Il ne me manque rien, ma vie est déjà si belle alors
Je ne rentrerai pas dans la ronde
Je n'aurai pas de regrets je ne me sens pas coupable
Je suis déjà comblé deux assiettes à ma table
Je vous laisse la poussette, les biberons et toutes les premières
Je suis juste une femme, je ne suis pas une mère
Et puis toutes ces remarques, ces regards, ces avis
Laissez-moi être libre de ne pas donner la vie
Pourquoi c'est si grave si je ne veux pas le faire
Je suis juste une femme, je ne suis pas une mère
Et quand je vois le monde, je ne trouverai jamais le sommeil
Si je devais surveiller mon ombre
Il ne me manque rien, ma vie est déjà si belle alors
Je ne rentrerai pas dans la ronde
Je ne ferai pas semblant pour moi il y a pas de problème
Je suis libre comme le vent, heureuse et moi-même
Et quand viendra le moment où le temps qui passe s'emmêle
Je leur répondrai sûrement
Et quand je vois le monde, je ne trouverai jamais le sommeil
Si je devais surveiller mon ombre
Il ne me manque rien ma vie est déjà si belle alors
Je ne rentrerai pas dans la ronde
Je suis juste une femme je ne suis pas une mère
Un nouveau jour se lève et pas de vide en moi
Il ne me manque rien ce n'est pas un enfer
Je suis juste une femme je ne suis pas une mère
Les années passent et les saisons défilent
Leur question me lasse laissez-moi tranquille
Pourquoi c'est si grave si je ne veux pas en faire
Je suis juste une femme, je ne suis pas une mère
Et quand je vois le monde, je ne trouverai jamais le sommeil
Si je devais surveiller mon ombre
Il ne me manque rien, ma vie est déjà si belle alors
Je ne rentrerai pas dans la ronde
Je n'aurai pas de regrets je ne me sens pas coupable
Je suis déjà comblé deux assiettes à ma table
Je vous laisse la poussette, les biberons et toutes les premières
Je suis juste une femme, je ne suis pas une mère
Et puis toutes ces remarques, ces regards, ces avis
Laissez-moi être libre de ne pas donner la vie
Pourquoi c'est si grave si je ne veux pas le faire
Je suis juste une femme, je ne suis pas une mère
Et quand je vois le monde, je ne trouverai jamais le sommeil
Si je devais surveiller mon ombre
Il ne me manque rien, ma vie est déjà si belle alors
Je ne rentrerai pas dans la ronde
Je ne ferai pas semblant pour moi il y a pas de problème
Je suis libre comme le vent, heureuse et moi-même
Et quand viendra le moment où le temps qui passe s'emmêle
Je leur répondrai sûrement
Et quand je vois le monde, je ne trouverai jamais le sommeil
Si je devais surveiller mon ombre
Il ne me manque rien ma vie est déjà si belle alors
Je ne rentrerai pas dans la ronde
Je suis juste une femme je ne suis pas une mère
Deviens reine
Y a ces paroles qui cognent dans ta tête qui dégringolent
Ces mots indigestes qui te tapent sur les nerfs
Votre évidence n'est qu'éphémère
Il part, il vole vers d'autres conquêtes, d'autres idoles
Jamais ça ne s'arrête, il te dit tout et son contraire
Il ment pour mieux te satisfaire
Mais tu n'es ni sienne ni sa promise
Ouvre tes paupières et réalise
Même s'il prend dans ses bras pour réchauffer
Ce cœur qui malgré toi bat pour l'aimer
Bats-toi deviens reine, libère-toi de ses chaînes
Ses bras sont trop étroits pour te garder
Ça te désole quand est-ce que tout cesse?
Ça te rend folle, tu succombes presque
Il vaudrait mieux tout foutre en l'air
Quitter ces murs et cet enfer
Et tu t'isoles, tu baisses la tête
Moins tu rigoles, plus c'est moi que tu peines
Assez je ne peux plus me taire
Enlève ces larmes de tes yeux verts
Il ment pour te plaire il se déguise
Ouvre tes paupières et réalise
Même s'il prend dans ses bras pour réchauffer
Ce cœur qui malgré toi bat pour l'aimer
Bats-toi deviens reine, libère-toi de ses chaînes
Ses bras sont trop étroits pour te garder
Même s'il prend dans ses bras pour réchauffer
Ce cœur qui malgré toi bat pour l'aimer
Bats-toi deviens reine, libère-toi de ses chaînes
Ses bras sont trop étroits pour te garder
Même s'il prend dans ses bras pour réchauffer
Ce cœur qui malgré toi bat pour l'aimer
Bats-toi deviens reine, libère-toi de ses chaînes
Ses bras sont trop étroits pour te garder
Même s'il prend dans ses bras pour réchauffer
Ce cœur qui malgré toi bat pour l'aimer
Bats-toi deviens reine, libère-toi de ses chaînes
Ses bras sont trop étroits pour te garder
Ces mots indigestes qui te tapent sur les nerfs
Votre évidence n'est qu'éphémère
Il part, il vole vers d'autres conquêtes, d'autres idoles
Jamais ça ne s'arrête, il te dit tout et son contraire
Il ment pour mieux te satisfaire
Mais tu n'es ni sienne ni sa promise
Ouvre tes paupières et réalise
Même s'il prend dans ses bras pour réchauffer
Ce cœur qui malgré toi bat pour l'aimer
Bats-toi deviens reine, libère-toi de ses chaînes
Ses bras sont trop étroits pour te garder
Ça te désole quand est-ce que tout cesse?
Ça te rend folle, tu succombes presque
Il vaudrait mieux tout foutre en l'air
Quitter ces murs et cet enfer
Et tu t'isoles, tu baisses la tête
Moins tu rigoles, plus c'est moi que tu peines
Assez je ne peux plus me taire
Enlève ces larmes de tes yeux verts
Il ment pour te plaire il se déguise
Ouvre tes paupières et réalise
Même s'il prend dans ses bras pour réchauffer
Ce cœur qui malgré toi bat pour l'aimer
Bats-toi deviens reine, libère-toi de ses chaînes
Ses bras sont trop étroits pour te garder
Même s'il prend dans ses bras pour réchauffer
Ce cœur qui malgré toi bat pour l'aimer
Bats-toi deviens reine, libère-toi de ses chaînes
Ses bras sont trop étroits pour te garder
Même s'il prend dans ses bras pour réchauffer
Ce cœur qui malgré toi bat pour l'aimer
Bats-toi deviens reine, libère-toi de ses chaînes
Ses bras sont trop étroits pour te garder
Même s'il prend dans ses bras pour réchauffer
Ce cœur qui malgré toi bat pour l'aimer
Bats-toi deviens reine, libère-toi de ses chaînes
Ses bras sont trop étroits pour te garder
La somme de toutes nos peines
Libre, être libre de vivre sa vie dans un monde où tout est écrit
Libre d'être celle que je suis
Vivre, ne jamais s'empêcher de vivre
De serrer les poings, ne pas courber l'échine
Vivre sans jamais en payer le prix
Nous sommes des millions, des milliards d'oubliés
Nous sommes les enfants du monde nés sous le même drapeau
Nous sommes des millions, des milliards à espérer
Qu'un jour enfin on oublie la somme de toutes nos peines
Qu'un jour enfin on enterre la somme de toutes nos peines
Nos rêves nous appartiennent, la somme de toutes nos peines
Nos rêves nous appartiennent, la somme de toutes nos peines
Être, accepter qui on est vraiment, dans mon cœur tout parait plus grand
Être et illuminer sa vie
Nous sommes des millions, nous sommes des milliards de destins
Nous sommes les enfants du monde, les visages de demain
Le cri, le cri de toute une génération
Qu'un jour enfin on oublie la somme de toutes nos peines
Qu'un jour enfin on enterre la somme de toutes nos peines
Nos rêves nous appartiennent, la somme de toutes nos peines
Nos rêves nous appartiennent, la somme de toutes nos peines
Nos rêves nous appartiennent
Qu'un jour enfin on oublie la somme de toutes nos peines
Qu'un jour enfin on enterre la somme de toutes nos peines
Nos rêves nous appartiennent, la somme de toutes nos peines
Nos rêves nous appartiennent, la somme de toutes nos peines
Libre d'être celle que je suis
Vivre, ne jamais s'empêcher de vivre
De serrer les poings, ne pas courber l'échine
Vivre sans jamais en payer le prix
Nous sommes des millions, des milliards d'oubliés
Nous sommes les enfants du monde nés sous le même drapeau
Nous sommes des millions, des milliards à espérer
Qu'un jour enfin on oublie la somme de toutes nos peines
Qu'un jour enfin on enterre la somme de toutes nos peines
Nos rêves nous appartiennent, la somme de toutes nos peines
Nos rêves nous appartiennent, la somme de toutes nos peines
Être, accepter qui on est vraiment, dans mon cœur tout parait plus grand
Être et illuminer sa vie
Nous sommes des millions, nous sommes des milliards de destins
Nous sommes les enfants du monde, les visages de demain
Le cri, le cri de toute une génération
Qu'un jour enfin on oublie la somme de toutes nos peines
Qu'un jour enfin on enterre la somme de toutes nos peines
Nos rêves nous appartiennent, la somme de toutes nos peines
Nos rêves nous appartiennent, la somme de toutes nos peines
Nos rêves nous appartiennent
Qu'un jour enfin on oublie la somme de toutes nos peines
Qu'un jour enfin on enterre la somme de toutes nos peines
Nos rêves nous appartiennent, la somme de toutes nos peines
Nos rêves nous appartiennent, la somme de toutes nos peines
J'parle pas de moi
length: 3:51
Silence on tourne
length: 2:56
L'âge de raison
Je me souviens des mots, des histoires
Et de ces mille et une vies qu'on s'inventait
J'entends rebondir dans ma mémoire
Les ballons et les rires
Mon cœur qui fait des ricochets
Je me souviens du goût de l'innocence
De ces questions sur nos lèvres au parfum fruit de l'impatience
Car sous le soleil de notre enfance
Chaque matin, le jour serait
Je te promets même quand le temps sera pluvieux
Je garderai ce doux rayon au fond des yeux
Comme la plus belle des saisons
Jamais je n'aurais l'âge de me faire une raison, une raison
Je te promets même quand le temps sera pluvieux
Je garderai ce doux rayon au fond des yeux
Les années peuvent bien couler
Je vis chaque jour comme si c'était le premier
La vie aime qu'on la prenne au sérieux
On apprend le pire, à perdre, à dire adieu
Ces quelques secondes qui pèsent des tonnes
Et qui sans te prévenir, te jettent dans la cour des hommes
Au bord de ses rêves et puis ses envies
Peu à peu toute l'insouciance s'essouffle sur des bougies
Mais dis-moi quand l'enfance s'est enfuit
En sort-on vraiment grandi?
Je te promets même quand le temps sera pluvieux
Je garderai ce doux rayon au fond des yeux
Comme la plus belle des saisons
Jamais je n'aurais l'âge de me faire une raison, une raison
Je te promets même quand le temps sera pluvieux
Je garderai ce doux rayon au fond des yeux
Les années peuvent bien couler
Je vis chaque jour comme si c'était le premier
Je me souviens des secrets dans la voix
Du frisson, de la fièvre des premières fois
J'ai dans la peau ce doux grain de folie
Non je ne suis pas guérie
Je te promets même quand le temps sera pluvieux
Je garderai ce doux rayon au fond des yeux
Comme la plus belle des saisons
Jamais je n'aurais l'âge de me faire une raison, une raison
Je te promets même quand le temps sera pluvieux
Je garderai ce doux rayon au fond des yeux
Les années peuvent bien couler
Je vis chaque jour comme si c'était le premier
Et de ces mille et une vies qu'on s'inventait
J'entends rebondir dans ma mémoire
Les ballons et les rires
Mon cœur qui fait des ricochets
Je me souviens du goût de l'innocence
De ces questions sur nos lèvres au parfum fruit de l'impatience
Car sous le soleil de notre enfance
Chaque matin, le jour serait
Je te promets même quand le temps sera pluvieux
Je garderai ce doux rayon au fond des yeux
Comme la plus belle des saisons
Jamais je n'aurais l'âge de me faire une raison, une raison
Je te promets même quand le temps sera pluvieux
Je garderai ce doux rayon au fond des yeux
Les années peuvent bien couler
Je vis chaque jour comme si c'était le premier
La vie aime qu'on la prenne au sérieux
On apprend le pire, à perdre, à dire adieu
Ces quelques secondes qui pèsent des tonnes
Et qui sans te prévenir, te jettent dans la cour des hommes
Au bord de ses rêves et puis ses envies
Peu à peu toute l'insouciance s'essouffle sur des bougies
Mais dis-moi quand l'enfance s'est enfuit
En sort-on vraiment grandi?
Je te promets même quand le temps sera pluvieux
Je garderai ce doux rayon au fond des yeux
Comme la plus belle des saisons
Jamais je n'aurais l'âge de me faire une raison, une raison
Je te promets même quand le temps sera pluvieux
Je garderai ce doux rayon au fond des yeux
Les années peuvent bien couler
Je vis chaque jour comme si c'était le premier
Je me souviens des secrets dans la voix
Du frisson, de la fièvre des premières fois
J'ai dans la peau ce doux grain de folie
Non je ne suis pas guérie
Je te promets même quand le temps sera pluvieux
Je garderai ce doux rayon au fond des yeux
Comme la plus belle des saisons
Jamais je n'aurais l'âge de me faire une raison, une raison
Je te promets même quand le temps sera pluvieux
Je garderai ce doux rayon au fond des yeux
Les années peuvent bien couler
Je vis chaque jour comme si c'était le premier
Avance
length: 2:20
Nature humaine
length: 2:54
Je veille
length: 2:44
A l'heure d'hier
Y a deux vallées sous mes yeux
Cernées de nos souvenirs
J'ai jamais su dire adieu
Sur le quai de l'avenir
Je regarde les gens passer
Emportés par le courant
Je voudrais tant remonter
Les aiguillages du temps
J'ai tant cherché ma voix
Changé cent fois
De vie, de ville loin de chez moi
Je porte sur moi le poids de l'exil
Sur les murs de mon passé
Je m'accroche comme le lierre
Non je n'ai rien oublié
Je vis à l'heure d'hier
J'ai laissé le temps flâner
Les saisons à l'envers
Les souvenirs ont des parfums d'été
Dans mon jardin d'hier
Sous mes racines y a la terre
Celle qui m'a vue grandir
Poser ma toute première pierre
Mûrir et puis me construire
J'en ai suivi d'autres traces
Meublé les jours et les heures
Mais tout au fond rien n'efface
Ne remplace l'amour porteur
J'ai tant cherché ma voix
Changé cent fois
De vie, de ville loin de chez moi
Je porte sur moi le poids de l'exil
Sur les murs de mon passé
Je m'accroche comme le lierre
Non je n'ai rien oublié
Je vis à l'heure d'hier
J'ai laissé le temps flâner
Les saisons à l'envers
Les souvenirs ont des parfums d'été
Dans mon jardin d'hier
À ces endroits qui nous habitent
Qui battent en nous quand on les quitte
Dans le recoin de nos heures à jamais demeurent
Sur les murs de mon passé
Je m'accroche comme le lierre
Non je n'ai rien oublié
Je vis à l'heure d'hier
J'ai laissé le temps flâner
Les saisons à l'envers
Les souvenirs ont des parfums d'été
Dans mon jardin d'hier
Cernées de nos souvenirs
J'ai jamais su dire adieu
Sur le quai de l'avenir
Je regarde les gens passer
Emportés par le courant
Je voudrais tant remonter
Les aiguillages du temps
J'ai tant cherché ma voix
Changé cent fois
De vie, de ville loin de chez moi
Je porte sur moi le poids de l'exil
Sur les murs de mon passé
Je m'accroche comme le lierre
Non je n'ai rien oublié
Je vis à l'heure d'hier
J'ai laissé le temps flâner
Les saisons à l'envers
Les souvenirs ont des parfums d'été
Dans mon jardin d'hier
Sous mes racines y a la terre
Celle qui m'a vue grandir
Poser ma toute première pierre
Mûrir et puis me construire
J'en ai suivi d'autres traces
Meublé les jours et les heures
Mais tout au fond rien n'efface
Ne remplace l'amour porteur
J'ai tant cherché ma voix
Changé cent fois
De vie, de ville loin de chez moi
Je porte sur moi le poids de l'exil
Sur les murs de mon passé
Je m'accroche comme le lierre
Non je n'ai rien oublié
Je vis à l'heure d'hier
J'ai laissé le temps flâner
Les saisons à l'envers
Les souvenirs ont des parfums d'été
Dans mon jardin d'hier
À ces endroits qui nous habitent
Qui battent en nous quand on les quitte
Dans le recoin de nos heures à jamais demeurent
Sur les murs de mon passé
Je m'accroche comme le lierre
Non je n'ai rien oublié
Je vis à l'heure d'hier
J'ai laissé le temps flâner
Les saisons à l'envers
Les souvenirs ont des parfums d'été
Dans mon jardin d'hier
Ailleurs
Sur le sol elle a laissé
De vieux éclats de rire brisé
Le temps balaiera le passé mais
Qui va payer la peau cassée
Pendue à son coup
Pendant des années
Qu'est-ce qui l'attachait?
Des liens ou des chaînes
Elle rêve que cette peine
Puisse enfin la quitter
Pour oser choisir neuve et légère
Et écouter même s'il est si fragile
Le chant envoûtant des possibles
Cette voix qu'il a voulu lui faire taire
Hier elle était à lui
Ce soir elle est ailleurs
Si les coups sont gratuits
Combien coûte le bonheur?
Il avait des mots inspirés
Qui vous façonnent, vous fascinent
Mais les flirts finissent par faner
Ne reste que des bouquets d'épines
Pendue à son coup
Pendant des années
Qu'est-ce qui l'attachait?
Des liens ou des chaînes
Elle rêve que cette peine
Puisse enfin la quitter
Pour oser choisir neuve et légère
Et écouter même s'il est si fragile
Le chant envoûtant des possibles
Cette voix qu'il a voulu lui faire taire
Hier elle était à lui
Ce soir elle est ailleurs
Si les coups sont gratuits
Combien coûte le bonheur?
Loin du tableau qu'il avait fait de sa vie
Elle a repeint tous les bleus et les mots aigris
Quoiqu'il puisse dire
Plus un mot ne l'atteint
Rien ne sert de souffrir
Il faut partir à point
Pour oser choisir neuve et légère
Et écouter même s'il est si fragile
Le chant envoûtant des possibles
Cette voix qu'il a voulu lui faire taire
Hier elle était à lui
Ce soir elle est ailleurs
Si les coups sont gratuits
Combien coûte le bonheur?
De vieux éclats de rire brisé
Le temps balaiera le passé mais
Qui va payer la peau cassée
Pendue à son coup
Pendant des années
Qu'est-ce qui l'attachait?
Des liens ou des chaînes
Elle rêve que cette peine
Puisse enfin la quitter
Pour oser choisir neuve et légère
Et écouter même s'il est si fragile
Le chant envoûtant des possibles
Cette voix qu'il a voulu lui faire taire
Hier elle était à lui
Ce soir elle est ailleurs
Si les coups sont gratuits
Combien coûte le bonheur?
Il avait des mots inspirés
Qui vous façonnent, vous fascinent
Mais les flirts finissent par faner
Ne reste que des bouquets d'épines
Pendue à son coup
Pendant des années
Qu'est-ce qui l'attachait?
Des liens ou des chaînes
Elle rêve que cette peine
Puisse enfin la quitter
Pour oser choisir neuve et légère
Et écouter même s'il est si fragile
Le chant envoûtant des possibles
Cette voix qu'il a voulu lui faire taire
Hier elle était à lui
Ce soir elle est ailleurs
Si les coups sont gratuits
Combien coûte le bonheur?
Loin du tableau qu'il avait fait de sa vie
Elle a repeint tous les bleus et les mots aigris
Quoiqu'il puisse dire
Plus un mot ne l'atteint
Rien ne sert de souffrir
Il faut partir à point
Pour oser choisir neuve et légère
Et écouter même s'il est si fragile
Le chant envoûtant des possibles
Cette voix qu'il a voulu lui faire taire
Hier elle était à lui
Ce soir elle est ailleurs
Si les coups sont gratuits
Combien coûte le bonheur?