Dans la peau Album
Artist(s): Kyo
Cover Art

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Tracklist
La température
length: 3:38
Il y'a plus de portes que de clés dans mes poches
Et plus de pages que de mots pour te lire
Que je t'ai chanté juste avec les mauvaises notes
Je t'ai emportée quand j'ai quitté la ville
Il y a plus de faire-part que de vraies histoires
Et plus de routes que de temps pour te suivre
Le chef de guerre est au diplomate
Ce que je suis à ton savoir vivre
Et quelque part dans la nature
Je dors encore dans ma voiture
La température grimpe à faire exploser le mercure
Silence, tout c'que tu diras
Sera retenu contre moi
La température grimpe à faire exploser le mercure
Moi je rêve de passer les fêtes
À repeupler l'espèce
Il y a plus d'épaves que d'enfants dans les squares
Plus d'étages que de marches à gravir
Mélange de peaux-rouges et de visages pâles
Les jours de gloire tu f'ras danser la pluie
Et quelque part dans la nature
Je dors encore dans ma voiture
La température grimpe à faire exploser le mercure
Silence, tout c'que tu diras
Sera retenu contre moi
La température grimpe à faire exploser le mercure
Demain tu iras travailler
Dans ta tenue de soirée
Et plus de pages que de mots pour te lire
Que je t'ai chanté juste avec les mauvaises notes
Je t'ai emportée quand j'ai quitté la ville
Il y a plus de faire-part que de vraies histoires
Et plus de routes que de temps pour te suivre
Le chef de guerre est au diplomate
Ce que je suis à ton savoir vivre
Et quelque part dans la nature
Je dors encore dans ma voiture
La température grimpe à faire exploser le mercure
Silence, tout c'que tu diras
Sera retenu contre moi
La température grimpe à faire exploser le mercure
Moi je rêve de passer les fêtes
À repeupler l'espèce
Il y a plus d'épaves que d'enfants dans les squares
Plus d'étages que de marches à gravir
Mélange de peaux-rouges et de visages pâles
Les jours de gloire tu f'ras danser la pluie
Et quelque part dans la nature
Je dors encore dans ma voiture
La température grimpe à faire exploser le mercure
Silence, tout c'que tu diras
Sera retenu contre moi
La température grimpe à faire exploser le mercure
Demain tu iras travailler
Dans ta tenue de soirée
Plan A
Quand les verres se déplacent seuls sur les tables
Que les traînes se prennent dans les bancs de sable
Tu te lèves innocent, tu te couches coupable
Quand la raison s’étiole sous les nuits de cobalt
Que la tension des corps redevient palpable
Tu te lèves vivant, tu te couches imbattable
J’ai tout vu, j’ai tout vu mais
Rien qui ne te ressemble
J’ai tout vu, j’ai tout vu en
Apparence
Il y a d’autres vies j’imagine
Des photos où tu n’apparais pas
Des âmes sœurs des peaux compatibles
Des plan B planqués sous leurs draps
Mais quand tu te balades dans tes jeans
Souvent bien trop grands pour toi
J’ai beau être O négatif, je veux seulement récupérer mon plan A
Mon plan A
J’ai raccroché la lune un lendemain de fête
Puisé dans mes victoires ma plus belle défaite
Ce soir nos différences dînent en tête à tête
Demain je ferai la même route en marche arrière
Allongé sur le lit de notre rivière
Deux pièces sur les yeux, une perle sur les lèvres
J’ai tout vu, j’ai tout vu mais
Rien qui ne te ressemble
J’ai tout vu, j’ai tout vu en
Apparence
Il y a d’autres vies j’imagine
Des photos où tu n’apparais pas
Des âmes sœurs des peaux compatibles
Des plan B planqués sous leurs draps
Mais quand tu te balades dans tes jeans
Souvent bien trop grands pour toi
J’ai beau être O négatif, je veux seulement récupérer mon plan A
Mon plan A
J’ai tout vu, j’ai tout vu mais
Rien qui ne te ressemble
J’ai tout vu, j’ai tout vu en
Apparence
Il y a d’autres vies j’imagine
Des photos où tu n’apparais pas
Des âmes sœurs des peaux compatibles
Des plan B planqués sous leurs draps
Mais quand tu te balades dans tes jeans
Souvent bien trop grands pour toi
J’ai beau être O négatif, je veux seulement récupérer mon plan A
Mon plan A
Que les traînes se prennent dans les bancs de sable
Tu te lèves innocent, tu te couches coupable
Quand la raison s’étiole sous les nuits de cobalt
Que la tension des corps redevient palpable
Tu te lèves vivant, tu te couches imbattable
J’ai tout vu, j’ai tout vu mais
Rien qui ne te ressemble
J’ai tout vu, j’ai tout vu en
Apparence
Il y a d’autres vies j’imagine
Des photos où tu n’apparais pas
Des âmes sœurs des peaux compatibles
Des plan B planqués sous leurs draps
Mais quand tu te balades dans tes jeans
Souvent bien trop grands pour toi
J’ai beau être O négatif, je veux seulement récupérer mon plan A
Mon plan A
J’ai raccroché la lune un lendemain de fête
Puisé dans mes victoires ma plus belle défaite
Ce soir nos différences dînent en tête à tête
Demain je ferai la même route en marche arrière
Allongé sur le lit de notre rivière
Deux pièces sur les yeux, une perle sur les lèvres
J’ai tout vu, j’ai tout vu mais
Rien qui ne te ressemble
J’ai tout vu, j’ai tout vu en
Apparence
Il y a d’autres vies j’imagine
Des photos où tu n’apparais pas
Des âmes sœurs des peaux compatibles
Des plan B planqués sous leurs draps
Mais quand tu te balades dans tes jeans
Souvent bien trop grands pour toi
J’ai beau être O négatif, je veux seulement récupérer mon plan A
Mon plan A
J’ai tout vu, j’ai tout vu mais
Rien qui ne te ressemble
J’ai tout vu, j’ai tout vu en
Apparence
Il y a d’autres vies j’imagine
Des photos où tu n’apparais pas
Des âmes sœurs des peaux compatibles
Des plan B planqués sous leurs draps
Mais quand tu te balades dans tes jeans
Souvent bien trop grands pour toi
J’ai beau être O négatif, je veux seulement récupérer mon plan A
Mon plan A
Ton mec
Il te fait perdre pied
La tête et les pédales, ton inconnu est un pavé dans
La mare des jours qui passent
De ses lèvres bien ajustées
Coulent des accents de bibliothèque
À croire qu'il ferait tout ou presque mieux que
Ton mec
Ton mec
Neuf comme un nouveau lycée
Comme le miroir des premières fois
Ton inconnu t'a remarquée dans la
Couleur de ton choix, dans les tissus les plus légers
Dans ton uniforme de nymphette
Celui qu'il y a quelques années aurait fait chavirer
Ton mec
Ton mec
Ton mec
Ton mec
Des fleurs plein le barillet
Il a la gâchette facile
Ton l'inconnu te réinvente à l'halogène de son désir
Il est l'homme des superlatifs
Pas celui des fins de mois
Ton inconnu ne parle pas de chiffres ni de sport le dimanche soir
Alors, le sourire aux yeux, et les larmes aux lèvres
Tu lui donnes un bout de toi, tu abolis les privilèges de ton mec
Ton mec
Ton mec
Ton mec
Mais le soir, les costumes
Retrouvent leurs cintres usés
Et le goût de l'amertume de
La lumière bon marché dans ses mauvaises habitudes
Tu observes ton garde-côte
Alors seulement tu réalises que ton mec est l'inconnu
D'une autre
Ton mec
Ton mec
Ton mec
Ton mec
Ton mec
Ton mec
La tête et les pédales, ton inconnu est un pavé dans
La mare des jours qui passent
De ses lèvres bien ajustées
Coulent des accents de bibliothèque
À croire qu'il ferait tout ou presque mieux que
Ton mec
Ton mec
Neuf comme un nouveau lycée
Comme le miroir des premières fois
Ton inconnu t'a remarquée dans la
Couleur de ton choix, dans les tissus les plus légers
Dans ton uniforme de nymphette
Celui qu'il y a quelques années aurait fait chavirer
Ton mec
Ton mec
Ton mec
Ton mec
Des fleurs plein le barillet
Il a la gâchette facile
Ton l'inconnu te réinvente à l'halogène de son désir
Il est l'homme des superlatifs
Pas celui des fins de mois
Ton inconnu ne parle pas de chiffres ni de sport le dimanche soir
Alors, le sourire aux yeux, et les larmes aux lèvres
Tu lui donnes un bout de toi, tu abolis les privilèges de ton mec
Ton mec
Ton mec
Ton mec
Mais le soir, les costumes
Retrouvent leurs cintres usés
Et le goût de l'amertume de
La lumière bon marché dans ses mauvaises habitudes
Tu observes ton garde-côte
Alors seulement tu réalises que ton mec est l'inconnu
D'une autre
Ton mec
Ton mec
Ton mec
Ton mec
Ton mec
Ton mec
Fremen
Pendant que nos villes brûlent dans le carburant des urnes
Je te ferai l'amour comme on ne le fait plus
Les pieds dans le goudron, la tête dans les plumes
J'ai chuchoté si fort qu'tu m'as entendu
Je te ferai valser sur des tangos et vibrer les côtes
Tanguer sur des îlots d'un nouveau monde à l’autre
Je te ferai l'amour comme on ne le fait plus
J'ai chuchoté si fort qu'tu m'as entendu
Il pleut des cordes sur les gabardines
Moi j'ai toujours su que les femmes avaient le goût de grenadine
Les taxis passent et l'envie défile
A la vitesse d'un limier lâché sur sa cible
I'm coming after, coming after, coming after you
And I'm coming after, coming after, coming after you
I'm coming after, coming after, coming after you
And coming after, coming after, coming after you
Je lève mon verre à la chaleur de l'épiderme
Aux enfants de cœur, aux brutes épaisses
Qui se donnent la réplique sans avoir lu leur texte
Je lève mon verre à nos succès, à nos échecs
À nos victoires, à nos défaites
À tes yeux de Fremen
Et à l'amour que je porte à cette époque obsolète
Nos meilleures histoires dorment sous les couvertures
Jusqu'à c'qu'une lampe, le soir, révèlent la vraie nature
Les pieds au plafond, la tête dans le future
J'ai chuchoté si fort que tout le monde s'est tu
Tournée générale, c'est pour moi, vas-y sers toi
Ce que je donne je ne le reprends pas
J'ai croqué dans le fruit qui m'était défendu
Je te ferai la cour comme on ne le fait plus
Je lève mon verre à la chaleur de l'épiderme
Aux enfants de cœur, aux brutes épaisses
Qui se donnent la réplique sans avoir lu leur texte
Je lève mon verre à nos succès, à nos échecs
À nos victoires, à nos défaites
À tes yeux de Fremen
Et à l'amour que je porte à cette époque obsolète
I'm coming after, coming after, coming after you
And I'm coming after, coming after, coming after you
Je lève mon verre à la chaleur de l'épiderme
Aux enfants de cœur, aux brutes épaisses
Qui se donnent la réplique sans avoir lu leur texte
Je lève mon verre à nos succès, à nos échecs
À nos victoires, à nos défaites
À tes yeux de Fremen
Et à l'amour que je porte à cette époque obsolète
Je te ferai l'amour comme on ne le fait plus
Les pieds dans le goudron, la tête dans les plumes
J'ai chuchoté si fort qu'tu m'as entendu
Je te ferai valser sur des tangos et vibrer les côtes
Tanguer sur des îlots d'un nouveau monde à l’autre
Je te ferai l'amour comme on ne le fait plus
J'ai chuchoté si fort qu'tu m'as entendu
Il pleut des cordes sur les gabardines
Moi j'ai toujours su que les femmes avaient le goût de grenadine
Les taxis passent et l'envie défile
A la vitesse d'un limier lâché sur sa cible
I'm coming after, coming after, coming after you
And I'm coming after, coming after, coming after you
I'm coming after, coming after, coming after you
And coming after, coming after, coming after you
Je lève mon verre à la chaleur de l'épiderme
Aux enfants de cœur, aux brutes épaisses
Qui se donnent la réplique sans avoir lu leur texte
Je lève mon verre à nos succès, à nos échecs
À nos victoires, à nos défaites
À tes yeux de Fremen
Et à l'amour que je porte à cette époque obsolète
Nos meilleures histoires dorment sous les couvertures
Jusqu'à c'qu'une lampe, le soir, révèlent la vraie nature
Les pieds au plafond, la tête dans le future
J'ai chuchoté si fort que tout le monde s'est tu
Tournée générale, c'est pour moi, vas-y sers toi
Ce que je donne je ne le reprends pas
J'ai croqué dans le fruit qui m'était défendu
Je te ferai la cour comme on ne le fait plus
Je lève mon verre à la chaleur de l'épiderme
Aux enfants de cœur, aux brutes épaisses
Qui se donnent la réplique sans avoir lu leur texte
Je lève mon verre à nos succès, à nos échecs
À nos victoires, à nos défaites
À tes yeux de Fremen
Et à l'amour que je porte à cette époque obsolète
I'm coming after, coming after, coming after you
And I'm coming after, coming after, coming after you
Je lève mon verre à la chaleur de l'épiderme
Aux enfants de cœur, aux brutes épaisses
Qui se donnent la réplique sans avoir lu leur texte
Je lève mon verre à nos succès, à nos échecs
À nos victoires, à nos défaites
À tes yeux de Fremen
Et à l'amour que je porte à cette époque obsolète
Prends-le
J'peux rien prouver mais je le sens, mes lèvres posées sur le calice
Je suis à court d’argument quand j'en ai trois, t'en as six
Tu penses qu'on a besoin de temps, qu’on a besoin d'une expertise?
Je parle de clan, de décennie je parle d'anniversaire surprise
De l’élite à la lie, de la lie à l'élite
La vie penche, l'équilibre est fragile mais je te l'ai déjà dit
Il y a bien dans nos enfants 50% de c'que je suis
Et puisque tu les aime tellement, c'est que tu m'aimes un peu aussi
Alors prends-le, prends-le, prends-le
Mon amour est disponible en jouissance exclusive
Alors prends-le, prends-le, prends-le
Il faut que tu le canalises, tu es la seule cible qu'il vise
Il m'est difficile de prétendre que les choses se bonifient
Avec le temps, pourtant le temps sur toi n'aura jamais d'emprise
Je t'ai aimée sur un lit de camp j'honorai chacune de tes rides
Pour toi je ferais parler la poudre jusqu'à c'que mon chargeur soit vide
Je suis pris dans ton avalanche je m'éteindrai si tu m'exiles
À la lisère des alizés ne reste que l'odeur de la pluie
J'ai de l'ADN de lycaon, je suis un peu lunatique
Mais quand il s'agit de vous 4, mon amour est prolifique
Alors prends-le, prends-le, prends-le
Mon amour est disponible en jouissance exclusive
Alors prends-le, prends-le, prends-le
Il faut que tu le canalises, tu es la seule cible qu'il vise
Alors prends-le, prends-le, prends-le
Mon amour est disponible en jouissance exclusive
Alors prends-le, prends-le, prends-le
Il faut que tu le canalises, tu es la seule cible qu'il vise
J'peux rien prouver mais je le sens
Sous les flots d'artifice
Je n'suis pas dans l'air du temps
Je suis dans l'air que tu respires
Tu parles de disperser nos cendres
Dans le courant de la Tamise
Je parle de feux de la St Jean
Je parle de braises que l'on attise
Alors prends-le, prends-le, prends-le
Prends-le, prends-le, prends-le
Il faut que tu le canalises, tu es la seule cible qu'il vise
Je suis à court d’argument quand j'en ai trois, t'en as six
Tu penses qu'on a besoin de temps, qu’on a besoin d'une expertise?
Je parle de clan, de décennie je parle d'anniversaire surprise
De l’élite à la lie, de la lie à l'élite
La vie penche, l'équilibre est fragile mais je te l'ai déjà dit
Il y a bien dans nos enfants 50% de c'que je suis
Et puisque tu les aime tellement, c'est que tu m'aimes un peu aussi
Alors prends-le, prends-le, prends-le
Mon amour est disponible en jouissance exclusive
Alors prends-le, prends-le, prends-le
Il faut que tu le canalises, tu es la seule cible qu'il vise
Il m'est difficile de prétendre que les choses se bonifient
Avec le temps, pourtant le temps sur toi n'aura jamais d'emprise
Je t'ai aimée sur un lit de camp j'honorai chacune de tes rides
Pour toi je ferais parler la poudre jusqu'à c'que mon chargeur soit vide
Je suis pris dans ton avalanche je m'éteindrai si tu m'exiles
À la lisère des alizés ne reste que l'odeur de la pluie
J'ai de l'ADN de lycaon, je suis un peu lunatique
Mais quand il s'agit de vous 4, mon amour est prolifique
Alors prends-le, prends-le, prends-le
Mon amour est disponible en jouissance exclusive
Alors prends-le, prends-le, prends-le
Il faut que tu le canalises, tu es la seule cible qu'il vise
Alors prends-le, prends-le, prends-le
Mon amour est disponible en jouissance exclusive
Alors prends-le, prends-le, prends-le
Il faut que tu le canalises, tu es la seule cible qu'il vise
J'peux rien prouver mais je le sens
Sous les flots d'artifice
Je n'suis pas dans l'air du temps
Je suis dans l'air que tu respires
Tu parles de disperser nos cendres
Dans le courant de la Tamise
Je parle de feux de la St Jean
Je parle de braises que l'on attise
Alors prends-le, prends-le, prends-le
Prends-le, prends-le, prends-le
Il faut que tu le canalises, tu es la seule cible qu'il vise
Dans les cordes
Tous les amants du monde se tiennent droits comme des I
Tombés de l'échelle, voilés comme des L tombés du nid
Ils se figent à la seconde où ils se disent "oui"
Si partout sur les ondes, on les traîne
Loin de la marge l'amour à l’étalage
Le service et la plonge pour mes hématomes
Et je passerai l'éponge, le témoin et la barre
C'est mouvementé dans les allées, les alcôves
C'est mouvementé, ça bouge, ça bouge, ça bouge
Tu t'es bien battu, mais
Tu donnes, tu donnes, tu donnes et ne lâche pas
Tu as joué pour gagner
Chaque fois un autre que toi reprendra ta place
Tu t'es bien battu, mais
Tu donnes, tu donnes, tu donnes et ne lâche pas
Tu as joué, tu as joué
C'est dans les cordes qu'on se révèle, qu'on se dévoile
Les yeux de la Joconde m’étreignent
Là où je passe, partout où je traîne
Partout où je traque mon blues et ma peine
Quand la mode vient saigner tout sur son passage
Et tu peux me voir fondre sur place quand le jour se pâme
Du corps et du visage de Claudia Cardinale
Tu jetterais l’éponge les amarres, et les âmes
Mais ce qu'il y a de sombre
C'est mouvementé dans les allées, les alcôves
C'est mouvementé, ça bouge, ça bouge, ça bouge
Tu t'es bien battu, mais
Tu donnes, tu donnes, tu donnes et ne lâche pas
Tu as joué pour gagner
Chaque fois un autre que toi reprendra ta place
Tu t'es bien battu, mais
Tu donnes, tu donnes, tu donnes et ne lâche pas
Tu as joué, tu as joué
C'est dans les cordes qu'on se révèle, qu'on se dévoile
C'est mouvementé dans les allées, les alcôves
C'est mouvementé, ça bouge, ça bouge, ça bouge
Tu t'es bien battu, mais
Tu donnes, tu donnes, tu donnes et ne lâche pas
Tu as joué pour gagner
Chaque fois un autre que toi reprendra ta place
Tu t'es bien battu, mais
Tu donnes, tu donnes, tu donnes et ne lâche pas
Tu as joué, tu as joué
C'est dans les cordes qu'on se révèle, qu'on se dévoile
Tu t'es bien battu, mais
Tu donnes, tu donnes, tu donnes et ne lâche pas
Tu as joué pour gagner
Chaque fois un autre que toi reprendra ta place
Tu t'es bien battu, mais
Tu donnes, tu donnes, tu donnes et ne lâche pas
Tu as joué, tu as joué
C'est dans les cordes qu'on se révèle, qu'on se dévoile
Tombés de l'échelle, voilés comme des L tombés du nid
Ils se figent à la seconde où ils se disent "oui"
Si partout sur les ondes, on les traîne
Loin de la marge l'amour à l’étalage
Le service et la plonge pour mes hématomes
Et je passerai l'éponge, le témoin et la barre
C'est mouvementé dans les allées, les alcôves
C'est mouvementé, ça bouge, ça bouge, ça bouge
Tu t'es bien battu, mais
Tu donnes, tu donnes, tu donnes et ne lâche pas
Tu as joué pour gagner
Chaque fois un autre que toi reprendra ta place
Tu t'es bien battu, mais
Tu donnes, tu donnes, tu donnes et ne lâche pas
Tu as joué, tu as joué
C'est dans les cordes qu'on se révèle, qu'on se dévoile
Les yeux de la Joconde m’étreignent
Là où je passe, partout où je traîne
Partout où je traque mon blues et ma peine
Quand la mode vient saigner tout sur son passage
Et tu peux me voir fondre sur place quand le jour se pâme
Du corps et du visage de Claudia Cardinale
Tu jetterais l’éponge les amarres, et les âmes
Mais ce qu'il y a de sombre
C'est mouvementé dans les allées, les alcôves
C'est mouvementé, ça bouge, ça bouge, ça bouge
Tu t'es bien battu, mais
Tu donnes, tu donnes, tu donnes et ne lâche pas
Tu as joué pour gagner
Chaque fois un autre que toi reprendra ta place
Tu t'es bien battu, mais
Tu donnes, tu donnes, tu donnes et ne lâche pas
Tu as joué, tu as joué
C'est dans les cordes qu'on se révèle, qu'on se dévoile
C'est mouvementé dans les allées, les alcôves
C'est mouvementé, ça bouge, ça bouge, ça bouge
Tu t'es bien battu, mais
Tu donnes, tu donnes, tu donnes et ne lâche pas
Tu as joué pour gagner
Chaque fois un autre que toi reprendra ta place
Tu t'es bien battu, mais
Tu donnes, tu donnes, tu donnes et ne lâche pas
Tu as joué, tu as joué
C'est dans les cordes qu'on se révèle, qu'on se dévoile
Tu t'es bien battu, mais
Tu donnes, tu donnes, tu donnes et ne lâche pas
Tu as joué pour gagner
Chaque fois un autre que toi reprendra ta place
Tu t'es bien battu, mais
Tu donnes, tu donnes, tu donnes et ne lâche pas
Tu as joué, tu as joué
C'est dans les cordes qu'on se révèle, qu'on se dévoile
Danse
Ce que tu sèmes je le récolte
C'est le "firefly effect"
Tu te blesses et je m'écorche
Si tu te coupes je m'infecte
Tu t'es penchée trop près du bord
J'ai le vertige au sommet
L'ombre du faible et du fort
Dépend de sa place au soleil
Alors danse, danse
Puisque tes jambes paraissent immenses
Danse, danse, danse
Et ça cogne fort sous les torses dans l'assistance
Danse, danse, danse
Ce que tu goûtes je le dévore
Je suis pieds et poings liés
Si tu nages trop loin du bord
Moi sur le sol je n'ai plus pied
Et je prends ta vie comme un trésor
Que je garde au canon scié
Quelques virages à la corde
Pour pouvoir franchir l'arrivée
Ce que tu sèmes je le récolte
C'est le "firefly effect"
Tu te blesses et je m'écorche
Si tu te coupes je m'infecte
Alors danse, danse
Puisque tes jambes paraissent immenses
Danse, danse, danse
Et ça cogne fort sous les torses dans l'assistance
Danse, danse, danse
Pour prendre le large
Il faut que le vent souffle
Alors je souffle, j'ai de la marge
Mais il se peut qu'un jour je m'étouffe
Il faut que le vent souffle
Alors je souffle, j'ai de la marge
Mais il se peut qu'un jour je m'étouffe
Alors danse, danse
Puisque tes jambes paraissent immenses
Danse, danse, danse
Et ça cogne fort sous les torses dans l'assistance
Danse, danse, danse
Alors danse, danse
Puisque tes jambes paraissent immenses
Danse, danse, danse
Et ça cogne fort sous les torses dans l'assistance
Danse, danse, danse
C'est le "firefly effect"
Tu te blesses et je m'écorche
Si tu te coupes je m'infecte
Tu t'es penchée trop près du bord
J'ai le vertige au sommet
L'ombre du faible et du fort
Dépend de sa place au soleil
Alors danse, danse
Puisque tes jambes paraissent immenses
Danse, danse, danse
Et ça cogne fort sous les torses dans l'assistance
Danse, danse, danse
Ce que tu goûtes je le dévore
Je suis pieds et poings liés
Si tu nages trop loin du bord
Moi sur le sol je n'ai plus pied
Et je prends ta vie comme un trésor
Que je garde au canon scié
Quelques virages à la corde
Pour pouvoir franchir l'arrivée
Ce que tu sèmes je le récolte
C'est le "firefly effect"
Tu te blesses et je m'écorche
Si tu te coupes je m'infecte
Alors danse, danse
Puisque tes jambes paraissent immenses
Danse, danse, danse
Et ça cogne fort sous les torses dans l'assistance
Danse, danse, danse
Pour prendre le large
Il faut que le vent souffle
Alors je souffle, j'ai de la marge
Mais il se peut qu'un jour je m'étouffe
Il faut que le vent souffle
Alors je souffle, j'ai de la marge
Mais il se peut qu'un jour je m'étouffe
Alors danse, danse
Puisque tes jambes paraissent immenses
Danse, danse, danse
Et ça cogne fort sous les torses dans l'assistance
Danse, danse, danse
Alors danse, danse
Puisque tes jambes paraissent immenses
Danse, danse, danse
Et ça cogne fort sous les torses dans l'assistance
Danse, danse, danse
Plus à gagner qu'à perdre
Hé, on vient finir ce qu'on a commencé
Se réconcilier sur l'oreiller
Si pendant quelques secondes j'aimais le monde comme tu m'as aimé
Je sortirais de là, auréolé
Pour toujours et à toi aliéné
Ce que l'on possède finit toujours par nous posséder
On a plus à gagner qu'à perdre
À vouloir incendier
Les deux bouts de notre chandelle
On pourrait s'échouer
Inspire, expire, respire
On a plus à gagner qu'à perdre
Au fond du barillet
Hé, on s'est retrouvé parachutés
Dans les rues ici à la volée
La voile en torche, le cœur en poche comme seul à lier
Depuis le filtre d'amour a tourné
Et les larmes ont coulé du barillet
J'ai laissé scotchée ma dignité dans le barillet
On a plus à gagner qu'à perdre
À vouloir incendier
Les deux bouts de notre chandelle
On pourrait s'échouer
Inspire, expire, respire
On a plus à gagner qu'à perdre
Au fond du barillet
On a plus à gagner qu'à perdre
À vouloir incendier
Les deux bouts de notre chandelle
On pourrait s'échouer
Inspire, expire, respire
On a plus à gagner qu'à perdre
Au fond du barillet
Inspire, expire, respire
On a plus à gagner qu'à perdre
Au fond du barillet
Se réconcilier sur l'oreiller
Si pendant quelques secondes j'aimais le monde comme tu m'as aimé
Je sortirais de là, auréolé
Pour toujours et à toi aliéné
Ce que l'on possède finit toujours par nous posséder
On a plus à gagner qu'à perdre
À vouloir incendier
Les deux bouts de notre chandelle
On pourrait s'échouer
Inspire, expire, respire
On a plus à gagner qu'à perdre
Au fond du barillet
Hé, on s'est retrouvé parachutés
Dans les rues ici à la volée
La voile en torche, le cœur en poche comme seul à lier
Depuis le filtre d'amour a tourné
Et les larmes ont coulé du barillet
J'ai laissé scotchée ma dignité dans le barillet
On a plus à gagner qu'à perdre
À vouloir incendier
Les deux bouts de notre chandelle
On pourrait s'échouer
Inspire, expire, respire
On a plus à gagner qu'à perdre
Au fond du barillet
On a plus à gagner qu'à perdre
À vouloir incendier
Les deux bouts de notre chandelle
On pourrait s'échouer
Inspire, expire, respire
On a plus à gagner qu'à perdre
Au fond du barillet
Inspire, expire, respire
On a plus à gagner qu'à perdre
Au fond du barillet
Plus que mes doutes
Je voulais t'aimer
Plus que tout
Plus que mes doutes
Plus que le temps
Celui qui pousse à se mentir
À faire semblant
À faire fausse route
Plus que mes doutes
Je voulais t'aimer
Plus que moi même
Plus qu'il n'en coûte
Plus noir
Plus grand
Passionnément
À ton sourire
À nos enfants
À notre couple
Plus que mes doutes
Et je passe mon cœur
Dans des machines
Je l'ouvre et je le dessine
Je crains qu'il ne se défile
De peur
Et je passe mon cœur
À l'encre de chine
Le pèse et le dessine
Je crains qu'il ne se défile
De peur
Je voulais t'aimer
Plus qu'hier
Mieux pour demain
Plus sûr
Plus blanc
À faire pâlir
À faire courir
Pour le restant
De nos beaux jours
Plus que toujours
Je voulais t'aimer
Plus que tout
Plus que mes doutes
Plus que le temps
Celui qui pousse à se mentir
À faire semblant
À faire fausse route
Plus que mes doutes
Et je passe mon cœur
Dans des machines
Je l'ouvre et je le dessine
Je crains qu'il ne se défile
De peur
Et je passe mon cœur
À l'encre de chine
Le pèse et le dessine
Je crains qu'il ne se défile
De peur
Et je passe mon cœur
Dans des machines
Je l'ouvre et je le dessine
Je crains qu'il ne se défile
De peur
Et je passe mon cœur
À l'encre de chine
Le pèse et le dessine
Je crains qu'il ne se défile
De peur
Plus que tout
Plus que mes doutes
Plus que le temps
Celui qui pousse à se mentir
À faire semblant
À faire fausse route
Plus que mes doutes
Je voulais t'aimer
Plus que moi même
Plus qu'il n'en coûte
Plus noir
Plus grand
Passionnément
À ton sourire
À nos enfants
À notre couple
Plus que mes doutes
Et je passe mon cœur
Dans des machines
Je l'ouvre et je le dessine
Je crains qu'il ne se défile
De peur
Et je passe mon cœur
À l'encre de chine
Le pèse et le dessine
Je crains qu'il ne se défile
De peur
Je voulais t'aimer
Plus qu'hier
Mieux pour demain
Plus sûr
Plus blanc
À faire pâlir
À faire courir
Pour le restant
De nos beaux jours
Plus que toujours
Je voulais t'aimer
Plus que tout
Plus que mes doutes
Plus que le temps
Celui qui pousse à se mentir
À faire semblant
À faire fausse route
Plus que mes doutes
Et je passe mon cœur
Dans des machines
Je l'ouvre et je le dessine
Je crains qu'il ne se défile
De peur
Et je passe mon cœur
À l'encre de chine
Le pèse et le dessine
Je crains qu'il ne se défile
De peur
Et je passe mon cœur
Dans des machines
Je l'ouvre et je le dessine
Je crains qu'il ne se défile
De peur
Et je passe mon cœur
À l'encre de chine
Le pèse et le dessine
Je crains qu'il ne se défile
De peur
Troisième pas
length: 3:15
Prends les coups
Je porte la marque intacte de ton ombre au tableau
Nos rodéos se terminent en douche froide
Une, deux, trois, cent lésions sur les épaules
Ça laisse des traces
Et peu d'eau sous les ponts
Et la nuit est jeune
La nuit est jeune
Et opaque
J'entends des voix
Prends les coups mais ne les rends pas
J'essaie, j'essaie
Prends les coups bas et détends toi
J'essaie mais je n'y parviens pas
Et prends ça, accepte
J'accepte, t'as le goût des premières fois
Je teste et je m'en mords les doigts
Si tu me plaques au sol
Tu te couches avec moi
Le sexe fort
Celui qui s'en sort
J'ai vu deux, trois, photos de nos funérailles
Ça déboussole
Prends les coups mais ne les rends pas
J'essaie, j'essaie
Prends les coups bas et détends toi
J'essaie mais je n'y parviens pas
Et prends ça, accepte
J'accepte, t'as le goût des premières fois
Je teste et je m'en mords les doigts
J'ai toujours su que ça finirait comme ça
L'élixir est puissant
Mais j'ai pas le temps, j'ai plus le temps
J'ai toujours su que ça finirait comme ça
Le plaisir est violent
Mais j'ai pas le temps, j'ai plus le temps
J'ai toujours su que ça finirait comme ça
L'élixir est puissant
Mais j'ai pas le temps, j'ai plus le temps
J'ai toujours su que ça finirait comme ça
Le plaisir est violent
Mais j'ai pas le temps, j'ai plus le temps
Prends les coups mais ne les rends pas
J'essaie, j'essaie
Prends les coups bas et détends toi
J'essaie mais je n'y parviens pas
Et prends ça, accepte
J'accepte, t'as le goût des premières fois
Je teste et je m'en mords les doigts
Nos rodéos se terminent en douche froide
Une, deux, trois, cent lésions sur les épaules
Ça laisse des traces
Et peu d'eau sous les ponts
Et la nuit est jeune
La nuit est jeune
Et opaque
J'entends des voix
Prends les coups mais ne les rends pas
J'essaie, j'essaie
Prends les coups bas et détends toi
J'essaie mais je n'y parviens pas
Et prends ça, accepte
J'accepte, t'as le goût des premières fois
Je teste et je m'en mords les doigts
Si tu me plaques au sol
Tu te couches avec moi
Le sexe fort
Celui qui s'en sort
J'ai vu deux, trois, photos de nos funérailles
Ça déboussole
Prends les coups mais ne les rends pas
J'essaie, j'essaie
Prends les coups bas et détends toi
J'essaie mais je n'y parviens pas
Et prends ça, accepte
J'accepte, t'as le goût des premières fois
Je teste et je m'en mords les doigts
J'ai toujours su que ça finirait comme ça
L'élixir est puissant
Mais j'ai pas le temps, j'ai plus le temps
J'ai toujours su que ça finirait comme ça
Le plaisir est violent
Mais j'ai pas le temps, j'ai plus le temps
J'ai toujours su que ça finirait comme ça
L'élixir est puissant
Mais j'ai pas le temps, j'ai plus le temps
J'ai toujours su que ça finirait comme ça
Le plaisir est violent
Mais j'ai pas le temps, j'ai plus le temps
Prends les coups mais ne les rends pas
J'essaie, j'essaie
Prends les coups bas et détends toi
J'essaie mais je n'y parviens pas
Et prends ça, accepte
J'accepte, t'as le goût des premières fois
Je teste et je m'en mords les doigts
7 vies
L'amour, la télé nous filme
Fragile mais contagieux
Ne t'approche pas trop près de nous
C'est dangereux
Je serai la force tranquille
Ou bien l'huile sur le feu
Je cocherai les cases de la liste
De tes vœux
La vue est magnifique
Contemple-la tant que tu peux
La lumière alcaline
Le bien, l'ennemi du mieux
Tant que le temps défile
Tout doit se vivre à deux
Je pratique le langage des signes
Et celui du feu
Sept vies
Sept nuits
Sept jours
Le temps qu'il me faut pour faire le tour
Les anneaux qui jalonnent mon parcours
De l'or pâle, de l'or vert, de l'or rouge
Sept vies
Sept nuits
Sept jours
Le temps qu'il me faut pour faire le tour
De l'espace entre tes chevilles et ton cou
De l'amour, de l'amour, de l'amour
Je n'ai pas le goût du risque
J'ai le goût de l'enjeu
Je veux me contenter de toi
Mais pas de peu
Sous les feux d'artifice
Nos démons font la queue
Mon cœur est d'origine
Mon esprit spiritueux
Les parfums d'aubépine
Gagnent un destin pluvieux
Celui qui ne t'envie pas
Ne saurait être envieux
Des talons, des aiguilles
Des flambeaux dans les cheveux
Je capture la tour
Je ne clignerai plus des yeux
Sept vies
Sept nuits
Sept jours
Le temps qu'il me faut pour faire le tour
Les anneaux qui jalonnent mon parcours
De l'or pâle, de l'or vert, de l'or rouge
Sept vies
Sept nuits
Sept jours
Le temps qu'il me faut pour faire le tour
De l'espace entre tes chevilles et ton cou
De l'amour, de l'amour, de l'amour
Sept vies
Sept nuits
Sept jours
Le temps qu'il me faut pour faire le tour
De l'espace entre tes chevilles et ton cou
De l'amour, de l'amour, de l'amour
Fragile mais contagieux
Ne t'approche pas trop près de nous
C'est dangereux
Je serai la force tranquille
Ou bien l'huile sur le feu
Je cocherai les cases de la liste
De tes vœux
La vue est magnifique
Contemple-la tant que tu peux
La lumière alcaline
Le bien, l'ennemi du mieux
Tant que le temps défile
Tout doit se vivre à deux
Je pratique le langage des signes
Et celui du feu
Sept vies
Sept nuits
Sept jours
Le temps qu'il me faut pour faire le tour
Les anneaux qui jalonnent mon parcours
De l'or pâle, de l'or vert, de l'or rouge
Sept vies
Sept nuits
Sept jours
Le temps qu'il me faut pour faire le tour
De l'espace entre tes chevilles et ton cou
De l'amour, de l'amour, de l'amour
Je n'ai pas le goût du risque
J'ai le goût de l'enjeu
Je veux me contenter de toi
Mais pas de peu
Sous les feux d'artifice
Nos démons font la queue
Mon cœur est d'origine
Mon esprit spiritueux
Les parfums d'aubépine
Gagnent un destin pluvieux
Celui qui ne t'envie pas
Ne saurait être envieux
Des talons, des aiguilles
Des flambeaux dans les cheveux
Je capture la tour
Je ne clignerai plus des yeux
Sept vies
Sept nuits
Sept jours
Le temps qu'il me faut pour faire le tour
Les anneaux qui jalonnent mon parcours
De l'or pâle, de l'or vert, de l'or rouge
Sept vies
Sept nuits
Sept jours
Le temps qu'il me faut pour faire le tour
De l'espace entre tes chevilles et ton cou
De l'amour, de l'amour, de l'amour
Sept vies
Sept nuits
Sept jours
Le temps qu'il me faut pour faire le tour
De l'espace entre tes chevilles et ton cou
De l'amour, de l'amour, de l'amour