Pokhara Album
Artist(s): Yannick Noah
Cover Art

Tracklist
Si tu savais
composer: J. Kapler
lyricist: J. Kapler
Ce que je trouve là-bas chaque fois
Le rythme lent de la terre
Où les vies passent doucement pas à pas
Si tu savais mon frère
Ce qu'ensemble veut dire là-bas
Au cœur des monastères
Les dieux s'inclinent devant tant de foi
Ici nous âmes sont grises
Les gens ne se regardent pas
Nos sentiments s'enlisent
Et l'on ne voit que ce que l'on a pas
Eux tu sais quand ils disent
Pas besoin de signer en bas
Chaque matin chaque brise
C'est ton corps qui parle pour toi
Si tu savais mon frère
Comme je me retrouve quand je suis là-bas
Dans le chants leurs prières
Où j'aime tant mêler ma voix
Si tu savais mon frère
Comme chaque jour est fort là-bas
Les bonheurs les misères
Tout se partage même le moindre repas
Le pain et les chimères
La peur de l'au-delà
Juste offrir et se taire
Sans réfléchir juste comme ça
La crainte du tonnerre
La mort qui vient déjà
C'est tout leur univers
Qu'ils partagent simplement avec toi
Si tu savais
Il suffit de donner
Si tu savais
Aimer c'est partager
Si tu savais
Il suffit de donner
Si tu savais
Aimer c'est partager
Le bonheur, c'est partager
Ose
composer: Jacques Veneruso
lyricist: Jacques Veneruso
Presque rien, juste ? part
Et venir plus pr?s
D'autres liens d'autres voix
Au moins essayer
L'?tincelle qu'on re?oit
Au premier regard
L'?tincelle vient de toi
S'envole au hasard
Et peut tout changer
Alors... Ose, (ose) ose (Oooose)
Redonne ? ta vie
Sa vraie valeur
Ose, ose
Redonne ? ce monde
Toutes ses couleurs.
Presque rien, un silence
Qu'il faut ?couter
Un chemin, une chance
Qu'on peut partager
Pas de doute, pas de peur
Tu peux avancer
Fais ta route
Il est l'heure
Tu dois essayer
Tu dois tout changer
Ose, (okis? s?ki now, now, now, now....)
Ose (okis? s?ki now, now, now, now....)
Redonne ? ta vie
Sa vraie valeur
Ose, (okis? s?ki now, now, now, now....)
Ose (okis? s?ki now, now, now, now....)
Redonne ? ce monde
Toutes ses couleurs.
(okis? s?ki now, now, now, now....) x2
Presque rien, une route, tu peux avancer
(okis? s?ki now, now, now, now....) x2
Presque rien, un regard, tu peux essayer
Tu peux tout changer
Alors...
Ose, (okis? s?ki now, now, now, now....)
Ose (okis? s?ki now, now, now, now....)
Redonne ? ta vie
Sa vraie valeur
Ose, (okis? s?ki now, now, now, now....)
Ose (okis? s?ki now, now, now, now....)
Redonne ? ce monde
Toutes ses couleurs.
Ose, (okis? s?ki now, now, now, now....)
Ose (okis? s?ki now, now, now, now....)
Redonne ? ce monde
Toutes ses couleurs.
Laissez-nous essayer
lyricist: J. Kapler
Je sais la passion l'impatience
Le monde est ce qu'il est
Alors je sais
Je sais les longs sillons et les silences
Tout comme d'autres
J'essaie les violons face à la violence
Labyrinthe de l'espoir,
Où l'on enferme, soir après soir
Mais toujours, toujours essayer
D'avancer vers d'autres victoires
Laissez-vous essayer,
Même sans y croire, juste pour essayer
Je sais les démons et les démences
Tout comme vous j'entends les cris des fous qui s'avancent
Même si l'histoire nous a griffés
Les bruits de bottes aujourd'hui nous reviennent
Laissez-nous essayer au moins essayer
Simplement adoucir des peines
Laissez-nous essayer juste pour voir
Pour les prouver
Laissez-nous essayer
Même sans y croire
Laissez-nous rêver
Laissez-nous essayer
Même sans y croire, juste pour essayer
J'aurais dû comprendre
composer: J. Kapler
lyricist: J. Kapler
J'aurais du sentir ce qui ne se dit pas
J'aurais du comprendre au moins cette fois
J'aurais du savoir ce qui n'allait pas
Mais toutes ces choses que les hommes ne savent pas
Ces gestes simples que l'on ne fait pas
Qu'on oublie chaque fois,
Ces silences si forts mais que l'on n'entend pas
Mais pourquoi les mères ne le disent-elles pas
Les secrets des femmes, leurs doutes et leurs joies
Elles ont pourtant souffert au moins une fois
Dans les bras d'un homme, sourd à leur voix
Là tant de choses que les hommes ne savent pas
Ces gestes simples mais qu'ils ne font pas
Qu'ils oublient chaque fois,
Ces silences si forts mais qu'ils n'entendent pas
Ces silences si forts mais qu'ils n'entendent pas
Quand ils sont là
composer: J. Kapler
lyricist: J. Kapler
Et ces mots comme un festin
Quand ils m'accordent leurs notes et que je suis leurs voix
Je suis mieux que moi, quand ils sont là
Ces doux creuset de mon enfance
Tous les miens si tendres présences
Ils sont mon socle où que j'aille, où que je sois
Je suis mieux que moi, quand ils sont là
Ceux qui sont là même les mauvais soirs
Ceux qui restent quand je trouble le miroir
Je sais tellement ce que je leurs dois
Quand ils sont là
Toutes les mains qui me tiennent
Que je chéris dans les miennes
Que serais-je sans elle, la moitié de moi
Je suis mieux que moi, quand ils sont là
Vos mains, vos cris qui me portent
Vos regards donnent tant de force
Je sais qui je suis quand ils s'unissent enfin nos voix
Je suis mieux que moi, quand vous êtes là
Quand vous êtes là
Mon eldorado
composer: Jacques Veneruso
lyricist: Jacques Veneruso
Je respire je revois mes espoirs d'avant
Je repars jusqu'Ã dire je peux remonter le temps
Comme ému au début au tout premier cri
Je sais ce qui me suffit
Du soleil comme s'il en pleuvait
Le coeur en été
Et la vie avec toi
Du soleil mon eldorado
Au creux de ta peau
Et la vie coulera…comme ça
Je reprends réapprends à être vivant
La chaleur la douceur je recommence autrement
Le plus beau le plus beau quel que soit le prix
Je sais ce qui me suffit
Du soleil comme s'il en pleuvait
Le coeur en été
Et la vie avec toi
Du soleil mon eldorado
Au creux de ta peau
Et la vie coulera…comme ça
Comme l'eau
Comme l'air
Comme tout ce qu'on espère
Tout ce qui nous est nécessaire
Comme toi
Comme nous
Tout ce qui est doux et normal
Et qui peu à peu nous devient vital
Du soleil comme s'il en pleuvait
Le coeur en été
Et la vie avec toi
Du soleil mon eldorado
Au creux de ta peau
Et la vie coulera
Du soleil comme s'il en pleuvait
Le coeur en été
Du soleil mon eldorado
Au creux de ta peau
Et la vie coulera…comme ça
Comme ça
Comme ça
Comme ça
Yé mama yé
composer: Michel Aymé
lyricist: Gildas Arzel
Yé Mama Yé Mama Yé Mama Yé Ma Yé Mama Yé Yé Yé Ma
On veut partir, voyager
Et puis tout nous manque là-bas
On se jure toujours s'aimer
Et puis doucement on s'en va
On se croit dur, bien armé
Des soldats en chocolat
Des contraires simultanés
Encore plus troublants parfois
Un concert et le vent des sphères
Et puis vous êtes loin déjà
Un instant près comme des frères
Sans vous, ne reste que moi
Certains soirs dans l'hiver
Des mots qu'enfant on n'écoute pas
Reviennent, lumière légère
Et on lève les bras
Yé Mama Yé Mama Yé Mama Yé Ma Yé Mama Yé Yé Yé Ma
Yé Mama Yé Mama Yé Mama Yé Ma Yé Mama Yé Yé Yé Ma
Tout ce qu'on a dû sacrifier
Pour des jouets qu'on cassera
Quand on veut retrouver la paix
Ou le creux de ses bras
Le mal qu'on fait sans faire exprès
C'est fait, c'est fait, et voilà
Que dire d'autre, Yé Mama Yé
J'en sais rien, c'est comme ça
Yé Mama Yé Mama Yé Mama Yé Ma Yé Mama Yé Yé Yé Ma
Yé Mama Yé Mama Yé Mama Yé Ma Yé Mama Yé Yé Yé Ma
Yé Mama Yé Mama Yé Mama Yé Ma Yé Mama Yé Yé Yé Ma
Yé Mama Yé Mama Yé Mama Yé Ma Yé Mama Yé Yé Yé Ma
Yé Mama Yé Mama Yé Mama Yé Ma Yé Mama Yé Yé Yé Ma
Yé Mama Yé Mama Yé Mama Yé Ma Yé Mama Yé Yé Yé Ma
Yé Mama Yé Mama Yé Mama Yé Ma Yé Mama Yé Yé Yé Ma
Yé Mama Yé Mama Yé Mama Yé Ma Yé Mama Yé Yé Yé Ma
Au niveau du sol
composer: Erick Benzi
On se ressemble tous au niveau du sol on rit on pleure on pardonne
On n'a pas tous était premier à l'école et on de n'être personne
Descends fait vite descends descends monsieur président
Descends fait vite descends ouvre ta porte bien grand
Descends fait vite descends oublie tes choses ton rang
Descends s'il te plait descends c'est la vrai vie qui t'attend
On voit tout pareil au niveau du sol médiocre ou génie on se mélange
Toi la haut tu fais briller tes paroles mais vu d'ici ça sonne étrange
Descends fait vite descends descends monsieur président
Descends fait vite descends ouvre ta porte bien grand
Descends fait vite descends oublie tes choses ton rang
Descends s'il te plait descends c'est la vrai vie qui t'attend
Au Niveau du Sol
Au Niveau du Sol
Au Niveau du Sol
Au Niveau du Sol
Au Niveau du Sol
Au Niveau du Sol
Au Niveau du Sol
Au Niveau du Sol
On a tous pour s'aimer au niveau du sol
Au Niveau du Sol
Si tu voyais
Au Niveau du Sol
En personne
Au Niveau du Sol
Tu préfère être l'aiguille de la boussole
Au Niveau du Sol
Ton nord est trop haut
Au Niveau du Sol
Pour de simples hommes
Descends descends descends au niveau du sol
Descends il n'y a plus de protocole
Descends descends descends monsieur président
Descends descends c'est la vrai vie qui t'attend
Descends fait vite descends descends monsieur président
Descends fait vite descends ouvre ta porte bien grand
Descends fait vite descends oublie tes choses ton rang
Descends s'il te plait descends c'est la vrai vie qui t'attend
Descends descends descends...
(Merci à Telius pour cettes paroles)
C'est là
composer: Christophe Battaglia
lyricist: Cyril Tarquiny
Des regards qui ne mentent pas
Des mots simples qui rassurent parfois
Comme une envie, et rien d'autre que ça
Les parfums, la vie dans la rue,
Les soleils que l'on ne compte plus
Des couleurs que tu n'as jamais vues
Comme ces matins, et rien d'autre que ça
C'est là, comme une trace, un coi d'enfance
C'est là, comme un besoin, une exigence
C'est là, que l'on oublie nos différences
C'est là, bien plus fort que mes espérances
La chaleur et le rythme des villes,
Le manège de ces vies qui défilent
Et marcher sans aucun mobile
Prendre son temps, et rien d'autre que ça
C'est là, comme une trace, un coin d'enfance
C'est là, bien plus fort que nos espérances
C'est là, comme une trace, un coi d'enfance
C'est là, comme un besoin, une exigence
C'est là, que l'on oublie nos différences
C'est là, bien plus fort que mes espérances
C'est là
Tout le monde
composer: J. Kapler
lyricist: J. Kapler
Yeah Yeah
Pour nos souvenirs, les beaux et les pires
Pour cette attente que l'on partageait déjà
Pour les âmes sensibles et les âmes sœurs
Pour leur musique qui me prend chaque fois
Yeah Yeah, Tout le monde yeah yeah
Yeah Yeah, Tout le monde yeah yeah
Yeah Yeah, Tout le monde yeah yeah
Yeah Yeah, Tout le monde yeah yeah
Pour tous les gens, les bons, les méchants
Qu'un jour ils sachent combien le cœur est grand
Pour tous mes frères, vos yeux qui m'éclairent
Et la sueur comme une larme de bonheur
Pour tous les gamins, les vôtres et les miens
Votre chaleur que je blottis dans mon cœur
Les âmes bien nées qui se croyaient damnées
Et pour l'amour qui nous prend chaque fois
Yeah Yeah, Tout le monde yeah yeah
Yeah Yeah, Tout le monde yeah yeah
Yeah Yeah, Tout le monde yeah yeah
Yeah Yeah, Tout le monde yeah yeah
Pour tout ce qu'on essaie, réussi et raté,
Tout ce qu'on a fait, même pour tout ce qu'on a loupé
Pour la tolérance et la providence
Toutes nos chances et même pour les équipes de France
Le temps qui nous manque pour tout vivre tout le temps
Et le plaisir qui fait jamais semblant
Enfin pour les femmes pour qui l'on se damne
Et pour l'amour qui nous prend chaque fois
Pour tous ceux dont c'est la voix que l'on brise
Ceux dont la vie n'est qu'une cicatrice
Ces âmes qu'on tue, ces enfants perdus,
Ces amis partis avant qu'on se soit tout dit
Pour tout ce temps qui reste encore à vivre
Tous ces instants que l'on va partager
Et tout ce qu'on sera avant de partir
Pour la santé : tout le monde yeah yeah
Yeah Yeah, Tout le monde yeah yeah
Chaque matin
composer: Gildas Arzel
lyricist: Gildas Arzel
Je n'ai pas de plan en Espagne
J'oublie ce qui n'en vaut pas la fête
Comme toutes les leçons qui m'épargnent
Pourquoi pleurer des photos délavées
Pourquoi les boules de cristal
Hier est trop tard demain qui sait ?
Le jour se lève il est foetal
Chaque matin, chaque matin, lance une nouvelle danse
Chaque matin, chaque matin, l'envie de la naissance
Chaque matin, chaque matin, l'enfance recommence
Chaque matin, chaque matin, l'an 1 de l'existence
Je sais qu'à mon âge ça inquiète
Quand tout me touche, rien ne me gagne
Je fais ce que que se dit ma tête
J'essaie tous les mâts de cocagne
Pourquoi peindre les couleurs passées
Plutôt chercher d'autres opales
Un jour sera bien le dernier
Je le vivrai en festival
Chaque matin, chaque matin, lance une nouvelle danse
Chaque matin, chaque matin, l'envie de la naissance
Chaque matin, chaque matin, l'enfance recommence
Chaque matin, chaque matin, l'an 1 de l'existence
Jusqu'à demain, jusqu'à demain.
Yessaï
Vous les sorciers de notre jungle moderne
Précepteurs de ce qu'il faut ou pas
Vous les savants professeurs d'art de vivre
Gourous mentors qui nous montrent la voie
Laissez-moi doucement sourire
Vous vous êtes trompés tant de fois
Yeah Yessaï Yeah Yessaï
Vous les prêcheurs des temples catholiques
Qui nous expliquez haut et fort
Qu'un bel esprit est un esprit cynique
Si vous saviez combien vous avez tort.
Vous les bien-pensant des choses bien correctes
Gardiens infidèles de vos chappelles
Vous savez comme on sait dans les sectes
Vous jugez mais sans jamais d'appel
Yeah Yessaï
Alors sachez messieurs qui nous éclairent
Et s'enivrent de tous nos faux pas
Vous qu'un bonheur simple exaspère
Que la vie c'est pas du tout comme ça
Je sais vous allez sûrement sourire
Et même je crois vous moquer de moi
Mais si vous saviez comme j'aime vivre
Ces bonheurs qu'on me donne ici-bas
Yeah Yeah Yeah
Yeah Yeah Yeah
Yessaï
Dans l'eau de la claire fontaine
lyricist: Georges Brassens
composer: Georges Brassens
Elle se baignait toute nue
Une saute de vent soudaine
Jeta ses habits dans les nues
En détresse, elle me fit signe
Pour la vêtir, d'aller chercher
Des monceaux de feuilles de vigne
Fleurs de lis ou fleurs d'oranger
Avec des pétales de roses
Un bout de corsage lui fis
La belle n'était pas bien grosse
Une seule rose a suffi
Avec le pampre de la vigne
Un bout de cotillon lui fis
Mais la belle était si petite
Qu'une seule feuille a suffi
Elle me tendit ses bras, ses lèvres
Comme pour me remercier
Je les pris avec tant de fièvre
Qu'elle fut toute déshabillée
Le jeu dut plaire à l'ingénue
Car, à la fontaine souvent
Elle s'alla baigner toute nue
En priant Dieu qu'il fit du vent
Qu'il fit du vent.